Pour de nombreux Français, l’investissement immobilier conserve de nombreux avantages, dont celui d’offrir de meilleurs rendements que les solutions d’épargne traditionnelles. Cependant, si vous souhaitez augmenter la rentabilité au-delà du seuil symbolique de 10 %, vous devez penser à vous démarquer sur le marché et envisager un investissement locatif qui se démarque. En fonction des objectifs patrimoniaux de l’investisseur et de son capital disponible, le meilleur investissement ne sera pas le même.
Les grandes tendances de l’investissement locatif
La location saisonniÈre
C’est la star de l’investissement locatif à haut rendement. Les rendements de la location saisonnière sont faramineux, dépassant parfois les 20 %. En effet, c’est le résultat de revenus locatifs négociés à court ou très court terme, qui permettent aux bailleurs de pratiquer des loyers proches de l’hôtellerie. Comme il n’y a pas de contrôle des loyers, le bailleur a beaucoup de liberté pour ajuster le tarif en fonction de la saison. Il n’y a pas non plus de risque d’impayés, car les locataires paieront le les loyers à l’avance sur des plateformes comme Airbnb. Pour une location saisonnière, les biens immobiliers situés dans la zone touristique peuvent être loués en été comme en hiver. D’un point de vue fiscal, les loyers saisonniers bénéficient du régime du leasing mobilier plutôt favorable en l’état du leasing mobilier non professionnel.
La colocation et le coliving
La principale raison de ce développement est la pénurie de logements dans les grandes villes, qui a conduit à une demande croissante de logements locatifs. Un grand nombre d’étudiants, de jeunes actifs, mais aussi de seniors ou de détachés professionnels affluent vers des logements partagés. L’hébergement de luxe et le co-living qui conservent certaines caractéristiques des « colocataires », mais ont plus d’identités et de services arrivent en tête de liste des investissements locatifs les plus rentables, avec un taux de retour de 8% à 10%. Bon plan? L’immobilier est vendu aux prix du marché dans les grandes villes étudiantes, avec une petite surface homogène, propice à l’hébergement.
L’immeuble de rapport
Le prix au mètre carré se négocie avec un prix de gros et un revenu mensuel fixe, grâce non pas à un, mais à plusieurs loyers, c’est le secret de l’immeuble de rapport. Ce type d’investissement en crédit-bail peut apporter des rendements importants, car si son taux de rendement moyen est d’environ 5%, alors un projet immobilier aussi bien négocié peut atteindre environ 15%. Les acheteurs sont très prudents lorsqu’ils choisissent des biens « sains » et vérifient les questions d’urbanisme et de droit immobilier.
Les investisseurs immobiliers familiers avec ce type d’investissement locatif constatent souvent qu’un bien immobilier qui est sur le marché depuis longtemps peut facilement faire baisser le prix d’achat. Par exemple:
- des immeubles anciens,
- des maisons de ville,
- un grand nombre d’immeubles…
Tous ces investissements immobiliers sont rentables. Une fois rénovés, tant qu’il y a une demande locative dans le quartier.
D’autres investissements locatifs supplÉmentaires
On peut également trouver d’autres pistes supplémentaires en matière d’investissement locatif:
Le parking
Certes, à première vue, ce n’est pas un investissement locatif très intéressant, mais le taux de rentabilité d’un parking se situe entre 4 % et 6 %. Son principal avantage est le faible prix d’achat, qui se situe entre 5 000 et 30 000 euros à Paris. Le stationnement élimine les coûts de gestion des baux, car il ne nécessite pas d’entretien. En revanche, il faut calculer les loyers perçus et les faibles revenus locatifs, en tenant compte du loyer le plus bas, il est donc préférable de réaliser plusieurs acquisitions au même endroit.
Les rÉsidences services
Les rendements sont loin des loyers saisonniers, mais ils permettent tout de même d’espérer 4 à 6 % pour une chambre en résidence sénior, des appartements étudiants ou des EHPAD. En outre, le prix du ticket d’entrée est très attractif, puisque les chambres étudiantes commencent à 100 000 euros. Une attention particulière doit être portée aux projets immobiliers vendus à des prix supérieurs aux prix du marché, et les gestionnaires peuvent réduire les loyers, réduisant ainsi la rentabilité locative pendant l’exploitation.